Réussir son transport vers Santorin

Avec l’euphorie du départ, le stress d’oublier quelque chose ou de louper un vol peut transformer un joli projet de voyage en une foultitude de petits tracas et de grosses galères. Aussi, pour faire en sorte que le transport vers Santorin se passe au mieux, mieux vaut une organisation impeccable.

Avant le départ

  • Bien s’assurer que toutes les formalités administratives sont OK (validité et expiration des papiers d’identité, assurance et santé… Voir la page dédiée).
  • Valider que les billets (avion, bateau) sont bien reçus et sans erreur.
  • Vérifier auprès des compagnies de transport des contraintes imposées (horaires d’arrivée avant le départ, nombre, taille et poids des bagages). Vérifier aussi les contraintes par rapport aux bagages autorisés (produits interdits, quantités…).
  • En cas de départ autrement qu’en voiture, bien réserver le moyen de transport et ne pas tenter le diable  (en choisissant le covoiturage pour gagner quelques euros par exemple ou en choisissant un horaire un peu juste pour le train ou le bus)
  • Si voyage en voiture (jusqu’à l’aéroport), préparer le trajet (ça vaut aussi bien pour les voyageurs réguliers que pour les autres – trop d’assurance peut entraîner de belles déconvenues). Vérifier les temps de trajet, le stationnement…
  • Faire une vérification rapide des vêtements et médicaments (quantité + ordonnance)

Le jour avant de partir

  • Regarder la météo du lieu de départ et du lieu d’arrivée (Santorin, Athènes, les îles proches suivant le lieu d’arrivée et les éventuelles correspondances / changement de mode de transport).
  • Vérifier les sites des compagnies de transport et des aéroports afin de s’assurer qu’il n’y a pas de contrariétés temporaires (travaux, grèves, manifestation importante) qui nécessiteraient de changer ses plans à la dernière minute.
  • Adapter éventuellement l’itinéraire et les horaires.
  • Faire les valises. Prévoir un bagage à main pratique (le sac à dos est idéal) avec beaucoup de poches facilement accessibles. Mettre dans ce sac les papiers indispensables dans une pochette dédiée, des habits de secours (pluie / forte chaleur) afin de pouvoir facilement de changer. Ne pas bourrer ce sac. De menus achats en cours de route doivent pouvoir être facilement être entreposés dans ce sac. Pour pouvoir repérer facilement les bagages en soute, certains utilisent des nœuds de tissus colorés sur les poignées. Vérifier les poids et tailles des bagages.
  • Imprimer les documents de voyage ou vérifier que ceux-ci sont bien disponibles sur smartphone.
  • Charger les appareils électroniques.
  • Prendre de l’argent liquide et préparer les petits accessoires de voyage (mouchoirs, écouteurs, petit livre, guide de voyage, appareil photo, chewing-gum…).
  • Préparer les habits pour le lendemain. Les meilleurs habits pour voyager sont agréables à porter, ample, avec des poches, faciles à enfiler / enlever.

Le jour du départ vers Santorin

  • Se rendre à l’aéroport / lieu de départ sans stress (le plan vérifié la veille est là pour apporter la tranquillité nécessaire au départ).
  • Une fois arrivé à l’aéroport, passer les contrôles de sécurité rapidement. C’est ici que ça risque de coincer. Une fois dans la zone d’attente duty-free, c’est quasiment gagné. Sauf gros souci de météo ou panne de transport, la Grèce n’est plus très loin. En profiter pour faire quelques emplettes (petites bouteilles d’eau, friandises). Se restaurer si nécessaire mais ne pas tenter de nourriture inconnue (ça ne sert à rien de se rendre malade – le bateau s’en chargera peut-être plus tard dans la journée pour celles et ceux qui ont choisi d’emprunter ce mode de transport).
  • Lors de l’ouverture des portes, se diriger sans tarder à l’embarquement. L’avion décolle en même temps pour tout le monde mais parfois les sièges dans la salle d’embarquement ne sont pas suffisants.

En cas de problème de transport

Retards et annulations font partie des risques du voyage (le vent notamment rend l’accostage difficile sur Santorin pour ceux qui terminent le voyage par bateau) et il existe quelques consignes très simples pour que tout aille pour le mieux.

  • Pour ceux qui préfèrent être rassurés : Suivre les consignes du transporteur (compagnie aérienne, compagnie maritime, train, bus). Ce sont eux les pros et ils ont l’habitude de ces situations. Pour obtenir réparation (et faire jouer les assurances), il faut se conformer aux décisions du transporteur. En cas de doute sur l’issue de la perturbation, rester à l’aéroport sera souvent proposé et les informations seront délivrées au compte-goutte. Des hôtels seront proposés et vous n’aurez rien à débourser. Par contre, le temps risque de paraître bien long…
  • Pour les vrais routards, les serials voyageurs (et les inconscients 😉 ) : Décider de faire par soi-même. Acheter de nouveaux billets, changer de compagnie, trouver un transport alternatif. Attention aux horaires et aux tarifs. Il est possible de gagner quelques heures par rapport à la solution proposée par le transporteur initial mais les risques sont plus importants (ne pas trouver d’hébergement, payer plus cher…).

Les bagages n’arrivent parfois pas en même temps que les passagers. Surtout embêtant pour les voyages avec multiples moyens de transports, il faut savoir que c’est la compagnie de transport qui se charge d’expédier les bagages à destination. Il suffit alors de trouver le guichet à l’arrivée et de déposer une réclamation.